Asselin (Olivar)
Olivar Asselin
Henri Bourassa et l’abbé Lionel Groulx sont reconnus aujourd’hui comme étant les deux chefs du mouvement nationaliste canadien-français de la première moitié du 20e siècle. Il en existait pourtant un troisième, non moins célèbre en son temps, il s’agit d’Olivar Asselin.
I. Un coeur passionné de sa nation et de la justice
Le nationalisme canadien-français d'Olivar Asselin et sa francophilie finirent par faire de lui un disciple de Charles Maurras ! Serait-ce la véritable raison de l’oubli dans lequel il est tombé ?
II. Un coeur catholique et français
Amoureux du Canada français, mais aussi habité par le grand idéal de justice sociale appris au monde par la France de 1789, admiratif de la langue de Molière qui permet si bien d’exprimer les idées et de les défendre, l’engagement d’Olivar Asselin dans l’armée, en 1915, même sous l’Union Jack, était à prévoir. Cette générosité le conduira à retrouver la foi, le sens du bien commun de la nation et la vraie justice, celle que la France des Rois très chrétiens a donnée en exemple au monde.