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Agronome colonisateur, Joseph Laliberté fut une grande figure de la colonisation de l’Abitibi de 1935 à 1970. Son histoire retrace l’évolution de l’agriculture dans les régions éloignées du Québec. En fondant une société secrète, des franco-catholiques d’Ontario ont organisé un front commun pour la défense du Canada-français. Malgré d’indéniables réussites, par manque de doctrine l’Ordre n’a pu contrer la Révolution tranquille. Comprenant que l’assurance-vie est une « pompe à épargne » au profit du capitalisme américain, deux nationalistes fondent une compagnie au service du développement de l’économie canadienne-française qui finira par sacrifier son idéal sur l’autel du profit. Fondées en 1901 par Alphonse Desjardins pour remédier à la pauvreté des Canadiens-français, les caisses qui portent son nom sont un système original de coopératives paroissiales d’épargne-crédit. Après la crise de 1929, leur succès et le souci de se tailler une place de choix dans l’économie nord-américaine va conduire le successeur du fondateur à déconfessionnaliser l’institution et à la centraliser. Aujourd’hui, elles ne sont plus qu’une coopérative de façade, mais elles sont un puissant groupe centralisé, bancaire et d’assurances, un fleuron de l’économie canadienne. Le curé Hébert est un parfait exemple du clergé canadien-français du 19e siècle, toujours sur la brèche pour s’occuper du bien spirituel de nombreux fidèles, d’abord comme vicaire à Québec puis comme curé à Kamouraska. Là, constatant la pauvreté des familles nombreuses, il eut l’idée de les lancer à la colonisation des terres fertiles du Saguenay pour leur éviter d’émigrer aux États-Unis. Menée avec intelligence cette colonisation servira de modèle pour les extensions futures des terres cultivables de la Province. Elle sera aussi à l’origine du développement de l’enseignement agricole au Québec. En prônant la déconfessionnalisation des coopératives, le Père Lévesque savait bien qu’il enclenchait la sécularisation du Canada français. La réforme de l’enseignement public donnerait le coup mortel à la chrétienté canadienne-française, ouvrant la voie du multiculturalisme de Trudeau et donc à la disparition de notre nation. Vouloir y remédier sans revenir à la religion catholique est un leurre, comme le montre le parcours intellectuel et idéologique du sociologue Guy Rocher. Jeune dominicain épris de Liberté, Georges-Henri Lévesque, après des études de sociologie en Europe où il s’imbiba du progressisme, fonda à Québec la Faculté des sciences sociales qui sera le laboratoire de la Révolution tranquille. Mère Marie du Saint-Esprit (Délia Tétreault) n’est pas seulement la fondatrice en 1904 des Sœurs missionnaires de l’Immaculée Conception, on lui doit aussi d’avoir ravivé l’esprit missionnaire au pays, provoquant en 50 ans plus de cinq mille vocations. Quoiqu’acadien, Robichaud, par son dynamisme et l’intelligence de son programme, parvint à se faire élire Premier ministre du Nouveau-Brunswick. En 10 ans, il en fit une province modèle, bilingue, ayant rattrapé son retard économique. Les Acadiens subirent sans cesse l’emprise des Anglais de la côte Est. Après leur déportation de 1755, ils développent les régions pauvres des Maritimes et luttent pour la nomination d’un évêque francophone et la sauvegarde de leurs droits. La dévotion à saint Joseph s’implante au Canada avec l’arrivée du premier missionnaire, le Père Le Caron en mai 1615. C’est lui qui convaincra Champlain de consacrer au Chef de la Sainte Famille la colonie naissante en 1624. Depuis saint Joseph ne cesse de multiplier ses faveurs, tout particulièrement à l’Oratoire du Mont-Royal, son plus grand sanctuaire mondial. Arrivé en Alberta en 1909, Alexandre Mahé est représentatif de ces colons arrivés presque sans rien et qui vont réussir, mais non sans difficulté, à mettre en valeur leurs lots. Fervent catholique, doué d’une forte personnalité et d’un incontestable talent d’écrivain, il mit sa plume au service de la survivance canadienne-française dans l’Ouest. Malheureusement sa passion gaulliste lui fit perdre sa lucidité sur les évènements d’après-guerre et sur l’avenir de la minorité franco-catholique. Mgr Baudoux, archevêque de Saint-Boniface, est représentatif de la troisième génération des évêques franco-catholiques de l’Ouest canadien, celle qui va œuvrer à la survivance avant d’être désorientée par le Concile Vatican II. Une biographie de Mgr Olivier-Élzéar Mathieu vient de paraître. Elle nous permet d’apprécier le rôle de ce premier évêque canadien-français dans l’Ouest qui n’est pas Oblat de Marie Immaculée, qui n’avait même aucun lien avec l’Ouest avant sa nomination. Excellent évêque, mais de tendance libérale, il va contribuer indirectement à l'affaiblissement des Franco-canadiens. Après une enfance prédestinée, Catherine de Saint-Augustin entre à 12 ans chez les religieuses hospitalières chanoinesses de Saint-Augustin. En 1648, à 16 ans, elle est envoyée au petit hôpital de Québec où elle rayonne par ses qualités d’infirmière et ses vertus religieuses. Mais à partir de 1652, son âme est assaillie par de continuelles obsessions auxquelles elle résiste héroïquement. Favorisée de visions surnaturelles, elle s’offre en victime en 1658 au profit de l’Église de la Nouvelle-France. Quatre ans de Révolution tranquille laissent la province de Québec dans un état de troubles qui appelait une contre-révolution. Il n’en fut rien. Au contraire, celle-ci consolida son emprise grâce aux manœuvres de trois hommes politiques : René Lévesque, Robert Bourassa et Pierre-Eliott Trudeau. Apparemment opposés, la même volonté de détruire la chrétienté canadienne française les unissait et explique la continuité de leurs actions. Parcourir la vie et le combat de Mgr von Galen contre le nazisme nous permet de saisir la décadence de notre société, aujourd’hui favorable à 62 % à ce qui était considéré comme une abomination il y a soixante-dix ans, mais aussi celle de Église qui n’a plus le courage ou le moyen de s’y opposer. Notre société serait-elle devenue plus totalitaire que celle de l’Allemagne sous Hitler ? Après la révolution bolchévique en Russie, le Canada a voulu participer à la lutte des Russes blancs contre le nouveau pouvoir. Un corps expéditionnaire canadien de 4200 hommes a été envoyé à Vladivostok fin décembre 1918. Toutefois, nos gouvernements démocratiques vont rapidement abandonner leur aide, et les soldats seront rapatriés non sans avoir été contaminés par la propagande marxiste. Pierre Duchesne vient de consacrer une biographie à Guy Rocher, le premier de nos grands sociologues. Elle nous donne à suivre l’évolution d’un jeune garçon pieux, excellent élève d’un collège classique, qui, un quart de siècle plus tard, aura perdu la foi et œuvrera au sein de la Commission Parent à saborder l’enseignement public confessionnel au Québec. On ne peut faire l’histoire du nationalisme canadien-français sans s’arrêter sur l’attachante figure du frère Marie-Victorin. On le connaît encore aujourd’hui comme le créateur du Jardin botanique de Montréal, un des plus beaux du monde, on se souvient moins qu’il fut un des pères de l’Université de Montréal, et seuls les anciens n’ont pas oublié son action pédagogique et radiophonique qui firent de lui, entre les deux guerres, l’un des acteurs les plus convaincants du nationalisme canadien-français. Pour s’adapter au déclin de la pratique religieuse, nos évêques ont lancé un vaste mouvement de réforme sous le nom de « tournant missionnaire ». Ce qui paraît nouveau pour beaucoup a pourtant déjà été réalisé dans le diocèse de Québec et a donné un résultat qui devrait les encourager. Il faudrait bien sûr faire connaître cette expérience, les conditions de sa prodigieuse réussite... L’action catholique spécialisée, le personnalisme de Maritain et celui de Mounier, implantés ici à la suite de la condamnation de l’Action française par le pape Pie XI, ont été la cause d’une subversion intellectuelle sans précédent au Canada français. Nos évêques, le clergé et la masse des fidèles ont été non seulement incapables de la contrecarrer dès ses premiers effets, mais ils n’ont pas compris que toute la chrétienté canadienne-française allait en mourir ! Après avoir survolé les événements politiques de la Révolution tranquille, il nous faut en expliquer les ressorts intellectuels. Sous quelle influence a-t-elle pu se faire si facilement, qu’est-ce qui a manqué à la chrétienté canadienne-française pour s’y opposer efficacement ? Le 2 juillet 2018, le diocèse de Saint-Boniface, Église mère du Nord-Ouest canadien, fêtera son deuxième centenaire en commémorant l’arrivée de son premier missionnaire, qui deviendra son premier évêque, Mgr Joseph-Norbert Provencher, une grande figure de notre histoire, malheureusement bien oubliée aujourd’hui. 1960 : au mythe de la « grande noirceur » va succéder un autre mythe, façonné par ses artisans : celui d’une « Révolution tranquille » à la marche irrépressible et permettant tous les espoirs... Parvenus à ce point de notre histoire volontaire, au basculement de notre monde chrétien, il importe avant tout de ne pas se laisser impressionner par les apparences. Un tel phénomène n’est spontané en aucun peuple, il est forcément le résultat d’une subversion préparée de longue date, diffusant ses idées à petites doses dans le corps social. Dans une suite de conférences, nous avons survolé l’histoire de notre patrimoine artistique. Alors qu’à la fin du XIXe siècle notre architecture religieuse perd tout caractère propre, les arts plastiques s’enrichissent de belles œuvres originales. Des artistes canadiens-français produisent un art figuratif en harmonie avec la société québécoise, exprimant quelque chose de plus profond au-delà de la simple représentation du réel. Dans ce contexte culturel surgit soudainement l’art abstrait, véritable révolution culturelle qui annonce un bouleversement de la société canadienne. Les actes de Vatican II sont imprégnés de l’hérésie personnelle du pape Paul VI, une nouvelle théorie de la religion comme « Mouvement d’Animation Spirituelle de la Démocratie Universelle », en abrégé MASDU. Aujourd’hui le pape François la professe en disciple, stérilisant ses efforts de réforme de l’Église et l’empêchant d’écouter les demandes de Notre-Dame de Fatima. La victoire de Courcelette, le 16 septembre 1916, et d’autres, moins importantes, en octobre et en novembre, consolidèrent la réputation du corps d’armée canadien et de son commandant anglais, le général Byng, dont la tactique pour emporter les tranchées ennemies se révéla fort efficace, en même temps qu’économe en vies humaines. Au pays, les anglophones ne pouvaient plus considérer les Canadiens-français comme des lâches ou des traîtres. Il aurait donc été possible de favoriser une réconciliation des deux « peuples fondateurs ». Il n’en a rien été... Il y a un siècle, avec la loi sur la conscription, le Canada entrait dans une crise politique majeure qui creusa un fossé entre les Québécois et le reste des Canadiens. Pourtant, au même moment, soldats canadiens francophones et anglophones mêlaient leur sang dans des combats héroïques, prenant ainsi peu à peu conscience de leur identité nationale. Étudions ce curieux phénomène d’un nationalisme s’affermissant sur un théâtre d’opérations étranger, tandis qu’il devient impossible sur son sol. Paul de Chomedey de Maisonneuve, fondateur et premier gouverneur de Ville-Marie (1641-1665), est sans doute l’une des plus belles figures de notre histoire sainte, mais les rares célébrations qui ont entouré le 4e centenaire de sa naissance ont occulté la part orthodromique qui fait toute la grandeur et la fécondité de son œuvre. Pire : l’inconcevable silence des célébrations du 375e anniversaire de Montréal sur sa personne demande réparation. Tâchons de combler cette lacune. Après son retour au pouvoir, Duplessis va devoir affronter jusqu’à sa mort une vive opposition. On lui reproche surtout de faire le jeu des capitalistes, de n’être pas un véritable démocrate et de maintenir le Québec sous l’emprise d’une idéologie catholique rétrograde, empêchant son ouverture au monde. Après avoir brossé un tableau de ses réalisations, qui font objectivement de lui un de nos grands hommes d’État, il convient d’examiner cette triple critique afin, éventuellement, de reconnaître tout aussi objectivement des aspects négatifs à l’action de celui que les Québécois ont élu cinq fois Premier ministre, un record. Entre les nationalistes idéologues, tels Bourassa et Groulx, et les politiciens retors comme Georges-Étienne Cartier, Honoré Mercier et Wilfrid Laurier, Duplessis fut le premier homme politique à faire œuvre vraiment constructive, utile au Canada français catholique, avec lequel il se trouva en parfaite syntonie. Malheureusement, elle suscita une opposition idéologique. Alors qu’éclate le scandale des pensionnats autochtones, rejaillissant sur les communautés religieuses, il est important de se faire une idée précise de la politique gouvernementale qui a présidé à leur fondation. La thèse de James Daschuk dont les Presses de l’Université Laval viennent opportunément de publier la traduction française vient corroborer les thèses de Maureen Lux et de Mary-Ellen Kelm qui, dès les années 1990, expliquaient scientifiquement le déclin des populations autochtones par le racisme des colons et des politiques gouvernementales. Les missionnaires catholiques furent alors leurs seuls défenseurs. Loin de voir sa province comme la terre des Canadiens français à reconquérir sur l’envahisseur anglais, Duplessis la voyait comme une communauté historique à sauver et à faire prospérer. Vision réaliste, qui portait à l’union des forces – d’où le nom d'Union nationale, donné à son parti – et n’opposait pas indûment le nationalisme aux intérêts privés, ni le progrès économique aux traditions de notre peuple. Il intégrait en sa personne les aspirations légitimes des conservateurs, des nationalistes et des progressistes, comme les trois grandes voix d’un même patriotisme fondamental. Il voulait en définitive que la société demeure ouvertement chrétienne et soumise aux lois de l’Église. L’impact du concile Vatican II et de la Révolution tranquille sur les communautés religieuses est rarement traité au Québec, sinon d’une manière expéditive dans le dernier chapitre des monographies d’anniversaire de leur fondation... tandis que se profile leur disparition. Dominique Laperle vient combler ce manque dans un livre intéressant qui retrace l’évolution entre 1955 et 1985 de la congrégation canadienne-française jadis la plus florissante : les Sœurs des Saints Noms de Jésus et de Marie, dont l’origine remonte à la renaissance catholique du Canada français au milieu du 19e siècle. Après avoir étudié la vie et l’œuvre du Père Éphrem Longpré, revenons sur un épisode qui lui laissa un souvenir amer et, surtout, qui eut de graves conséquences pour le Canada-français : la polémique suscitée par sa tournée de conférences sur l’École franciscaine et, tout particulièrement, sur Duns Scot. En interdisant l’enseignement de sa doctrine au Canada français, l’Église s’est privée d’une source doctrinale qui lui aurait permis de réagir chrétiennement aux erreurs modernes et d’échapper à la désorientation. Le 16 mai 2015, notre ami Pierre Lambert rendait sa belle âme à Dieu. Parmi les premiers, il prononça son acte d’allégeance à la Phalange, en août 1985. Son caractère fort était largement atténué par une douce humilité faite d’affection, de reconnaissance, d’estime des autres, qui le rendaient si attachant. Il avait conscience, tout d’abord, de la richesse inouïe de la doctrine de notre Père, et il avait compris qu’il fallait travailler pour se l’approprier. Il avait compris aussi que la CRC était un combat contre Satan, et donc que les coups durs étaient inévitables... Le Père Éphrem Longpré, savant médiéviste de réputation mondiale, a réalisé une œuvre remarquable qui, si elle avait été prise en considération par ses compatriotes, aurait pu changer le visage de l’Église canadienne dans les années 1940-1950. Ses convictions rejoignent la doctrine de l’abbé de Nantes et ouvrent une voie pour la renaissance de l’Église catholique au Canada. Qu’il défende l’environnement ou la famille, le pape François se heurte à l’individualisme, qui engendre autant l’incapacité de travailler au bien commun de la société, que la « culture du provisoire », qui mine la vie familiale. Pour s’y opposer, le Saint-Père rappelle l’enseignement évangélique, qu’il illustre de beaux exemples, mais il est légitime de penser que cela ne suffira pas à provoquer une salutaire réaction, et surtout à la consolider. Ne faudrait-il pas aussi déterminer l’erreur qui sous-tend ce mal contemporain et y porter un remède adéquat ? C’est le service éminent que l’abbé de Nantes rend à l’Église aujourd’hui : lui proposer une métaphysique à l’unisson de l’idéal évangélique et de la raison. Lorsqu’en 1949, frère Flavien revient à Diang après un premier séjour au Canada, il a hâte de se remettre au travail. Avec l’accord de ses supérieurs, il veut développer les œuvres entreprises à l’occasion de la guerre et s’occuper des 65 000 pêcheurs de la côte Est de la baie du Bengale, afin de leur montrer en actes et en paroles la charité du Christ et l’amour de la Vierge Marie. C’est ce cœur que nous allons voir à l’œuvre, jusqu’au bout, malgré toutes les difficultés et le bouleversement qui résulteront du concile Vatican II. Au sud de Chittagong, la seconde agglomération du Bangladesh, un vaste sanctuaire marial dédié à Notre-Dame de Lourdes attire les chrétiens, mais aussi des musulmans et des hindouistes. Son fondateur est un religieux enseignant canadien, de la Congrégation de Sainte-Croix, le frère Flavien Laplante, décédé en 1981. Son procès de béatification a été ouvert le 13 février 2009. Parcourons sa passionnante biographie, un vrai roman d’aventures en tout genre, pour notre édification, mais aussi pour avoir un bel exemple de saint religieux qui a souffert des réformes de Vatican II, tout en sachant garder humblement la charité et l’essentiel de sa vocation, faisant ainsi un ultime progrès sur le chemin de la perfection. Le diocèse de Montréal s’apprête à commémorer en juin le quatrième centenaire de l’arrivée des Récollets en Nouvelle-France et de la première messe célébrée dans la colonie. Bonne occasion de rappeler la part prise par les fils de saint François dans l’histoire de notre pays, part souvent oubliée, composée d’ombres et de lumières, mais qui gagnera à être connue dans sa pleine vérité. Notre pèlerinage à Turin pour l'ostension du Saint Suaire est l’occasion de raviver notre dévotion à la Sainte Face. Or, celle-ci était très répandue au Canada français ; dans les années quarante, rares étaient les foyers qui n’en possédaient pas l’image. Il s’agissait non pas d’une photographie du Saint Suaire, mais de la reproduction d’une grisaille peinte par Céline, la sœur de sainte Thérèse, au carmel de Lisieux. Ce tableau fut répandu partout dans le monde, mais surtout au Canada et en France, grâce à l’esprit entreprenant d’un prêtre canadien, dont le procès de béatification vient d’être ouvert : le Père Eugène Prévost. Parcourons l'histoire du bienheureux Michel Rua, qui seconda saint Jean Bosco dans le développement prodigieux de ses œuvres avant de lui succéder, pour admirer ce magnifique exemple de circumincessante charité paternelle et filiale, pour le salut des âmes et les combats de l’Église.Joseph Laliberté, agronome colonisateur en Abitibi
L’Ordre de Jacques Cartier
La Laurentienne
la tentation des grandeursL’évolution du mouvement Desjardins
Le curé Hébert et la colonisation
du Saguenay et du Lac Saint-JeanLa déconfessionnalisation du Québec
Le Père Georges-Henri Lévesque o. p.
Le père de la révolution tranquilleMère Marie du Saint-Esprit
à l’origine de l’élan missionnaire du Canada françaisL’acadien Louis Robichaud
premier ministre du Nouveau-Brunswick
une victoire sans lendemainLa survivance de l’Acadie
Saint Joseph, patron du Canada
De la Bretagne aux plaines de l’Ouest canadien
un défricheur franco-albertain : Alexandre MahéMgr Maurice Baudoux
de « Gaudium et Spes » à « Luctus et angor »Mgr Olivier-Elzéar Mathieu : les franco‐catholiques contaminés par le libéralisme
La bienheureuse Catherine de Saint-Augustin : Victime pour la Nouvelle-France
Trudeau, Bourassa, Lévesque : les trois fossoyeurs du Canada-français
Le bienheureux Clemens-August von Galen :
un évêque se dresse contre le laïcismeL’expédition canadienne en Sibérie
à l’aide des Russes blancs (1917-1919)Guy Rocher : un fruit amer de la JEC
Le frère Marie-Victorin : La science, mais pour quel nationalisme ?
Un “tournant missionnaire” réussi : le Comité du Sacré-Cœur de Québec
La révolution tranquille intellectuelle (II)
La révolution tranquille intellectuelle (I)
Monseigneur Norbert Provencher, à l’origine de la conquête de l’Ouest canadien
La Révolution tranquille
La rébellion érigée en art ou l’art de l’apostasie
La religion du MASDU
Le Canada et la Grande Guerre : Victoires militaires, défaite nationale
Le Canada et la Grande Guerre : Héroïsme des soldats et luttes partisanes
Paul de Chomedey, sieur de Maisonneuve, et l’épopée de Ville-Marie
Duplessis : un règne sans lendemain
La bataille de l’autonomie provinciale
Le gouvernement fédéral et les Indiens de l’Ouest
Le dernier mot ultramontain
Une congrégation religieuse dans la révolution conciliaire et la révolution tranquille
Une polémique aux funestes conséquences : Duns Scot, interdit au canada-français !
Pierre Lambert : l’honneur d’être Phalangiste
Le Père Éphrem Longpré : Un savant canadien malheureusement oublié
La métaphysique relationnelle au secours du pape François
Frère Flavien Laplante : II. Un cœur Missionnaire Jusqu’au bout
Un religieux canadien aux périphéries : Le frère Flavien Laplante c.s.c
Les Récollets de Nouvelle-France
Le père Eugène Prévost et la dévotion à la Sainte Face
Le bienheureux don Michel Rua