Ouest canadien
L'œuvre des Oblats dans le Nord et l'Ouest canadiens
Histoire de la conquête de l'Ouest canadien par les Oblats. Cette étude réhabilite l’admirable épopée de ces missionnaires qui, par l’héroïcité de leurs vertus, contribuent à illustrer la sainteté de l’Église catholique romaine.
II. Les missions indiennes
Histoire du premier élan missionnaire dans le Nord-Ouest canadien, dirigé par Mgr Taché : en dix ans d’efforts incessants pour prendre de vitesse les protestants, moins de dix missionnaires évangéliseront le bassin du Mackenzie, jusqu’à l'océan Arctique.
III. L’œuvre de chrétienté de Mgr Grandin
Après le passage des missionnaires dans l'Ouest canadien, il restait à assurer l’éducation religieuse des convertis, leur persévérance, et à les retirer peu à peu de leurs conditions de vie souvent inhumaines. Ce fut l'œuvre de Mgr Grandin.
IV. Le peuplement franco-catholique de la Prairie
Lors de la colonisation de l’Ouest canadien, le gouvernement et les libéraux empêchèrent les catholiques francophones de s'y établir en nombre important, malgré tous les efforts des évêques Oblats. L’implantation d’une véritable chrétienté fut compromise.
V. La contre-offensive anglo-protestante et libérale
Profitant des suites de l’affaire Riel, les francs-maçons et anglo-protestants vont tout faire pour détruire l’œuvre des Oblats dans l’Ouest canadien : ils créèrent des réserves indiennes et s’attaquèrent aux écoles catholiques francophones.
VII. La survivance franco-catholique dans l'Ouest
Histoire de la résistance organisée des franco-catholiques de l’Ouest canadien pour conserver leurs écoles. Cette lutte, affaiblie par l'opposition de Pie XI au nationalisme, recevra le coup de grâce au Concile avec la victoire des conceptions libérales.
Le gouvernement fédéral et les Indiens de l’Ouest
Avec le scandale des pensionnats autochtones qui a rejailli sur les communautés religieuses, il est important de se faire une idée précise de la politique gouvernementale qui a présidé à leur fondation. La thèse de James Daschuk vient corroborer les thèses de Maureen Lux et de Mary-Ellen Kelm qui, dès les années 1990, expliquaient scientifiquement le déclin des populations autochtones par le racisme des colons et des politiques gouvernementales. Les missionnaires catholiques furent alors leurs seuls défenseurs.